Il est utilisé pour les rencontres du club de football du Dijon FCO. Le stade a été construit en 1919. Le Parc des Sports Gaston-Gérard est un stade de football français situé à Dijon, dans le quartier Montmuzard, inauguré en 1934. Il conserve ce siège jusqu'en 1945[2]. A moins que la ville de Dijon décide d’accélérer le processus. Sous l’impulsion du député-maire de Dijon, Gaston Gérard, le projet de stade omnisport se concrétise en 1934. vote les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, "La collaboration plane sur le stade de Dijon". En 1991, lors de la récéption de l'Olympique de marseille en coupe de France, une tribune provisoire est installée derrière le but coté Nord afin de faire face au nombre important de demande de billet (16000 entrées ce soir la). L’inauguration se déroule sur 3 jours (19-20-21 mai), en présence du président de la République, Albert Lebrun, et attire 100 000 personnes. Les trvaux devrait s'achever à l'orée de la saison 2017-2018 et ainsi offir une capacité de 19000 places au stade Gaston Gérard. "Des documents font resurgir le passé collaborationniste de l'ancien maire de Dijon Gaston Gérard " par Anne Pinczon du Sel, France Bleu Bourgogne, 7 septembre 2017. Le stade Gaston Gérard serait mis à disposition exclusive de l’équipe accueillie du 23 mai au 11 juillet 2016. le stade le plus moche du foot pro français avec celui de boulogne sur mer!affreux... Dijon est un très beau stade (en devenir), les tribunes neuves font partie des plus belles des stades français !! Un salon régional des produits de l'agriculture, de l'industrie et des arts organisé à Dijon en 1858 est également à l'origine du projet. Pour accueillir les matches de Ligue 1, le stade Gaston Gérard s’offre une extension en deux manches. La livraison est prévue pour mai 2017. Le stade servait également de terrain d' athlétisme avant ses travaux d'agrandissement entre 2007 et 2017. Il fut le premier membre d'un gouvernement français à être chargé du tourisme. Gaston Gérard s'engage dès ses études dans l'action culturelle, avec la création d'une université populaire pour "éduquer les masses". Gaston Gérard est l'auteur de plusieurs ouvrages régionalistes, de nombreuses chroniques parues dans le quotidien dijonnais Le Bien public et dans le journal culturel Comœdia (dont sont parus deux recueils listés ci dessous), ainsi que de nombreuses préfaces, non citées ici. Gaston Gérard. Le projet complet, imaginé par l'architecte Michel Remon, prévoit la reconstruction de l'ensemble des tribunes. Espérant être nommé maire de Dijon, il organise sa propre propagande dans les colonnes du journal collaborationniste Le Progrès de Côte-d'Or, se rapproche du régime de Vichy[6] et des autorités d'occupations. La seconde phase du projet, qui vient d’être votée par le Grand Dijon, concerne la déconstruction puis la reconstruction de la tribune Est. Sa condamnation ne l'empêche pas de continuer ses actions en faveur du développement de l'attractivité de Dijon et de la Bourgogne: il crée en 1949 la Commanderie des Cordons bleus et soutient l'année suivante l'établissement des Etats généraux de la gastronomie française et de l'alimentation de qualité réunissant les professionnels de l'alimentation. [9] Il s'agit d'une bibliographie sélective. Construite plus proche du terrain que l’actuelle, la tribune sera conçue pour permettre une bonne luminosité et aération, indispensable à la bonne santé de la pelouse. Issu d'une famille modeste installé à Dijon depuis de nombreuses générations[1], il nait au domicile de ses parents, Georges Adolphe Gérard, comptable, et Marie-Louise Maison, au 30, rue Amiral Roussin. Celui-ci vise à transformer totalement le stade en une enceinte fermée (type Sochaux, Sedan...) de 22000 places sur un seul niveau mais avec des loges sur tout le tour du terrain. Fax +34 973 275 887 Gaston Gérard est alors membre de l'Alliance démocratique et mène en parallèle une carrière active d'avocat[1], reconnue par le nombre d'acquittement qu'il obtient aux assises[1]. Il ne prend le nom du maire qu'en 1969, suite à la mort accidentelle de ce dernier la même année. Le Parc des Sports doit son nom à Gaston Gérard, député-maire de Dijon entre 1919 et 1935, également ministre du tourisme. La première pierre de ce nouveau stade est donc posée en Septembre 2007 pour la construction de la tribune Nord qui ne sera inaugurée que le 29 Mai 2009, puis la Sud est inaugurée en Août 2010 après avoir débuté les travaux en Juillet 2008. La liste "bleue horizon", laissant une large place aux élites économiques locale, remporte les municipales. de l'Exèrcit 35-37 Il s’inscrit dans le vaste projet de modernisation du stade Gaston-Gérard entamé en 2007 avec la construction des tribunes Nord et Sud, pour un montant de 18 millions d'euros (hors taxes). Participant à cinq gouvernements pendant trois ans en tout, il est le premier membre d'un gouvernement français chargé du Tourisme. C'est le cabinet de Jean guervilly qui est choisit pour cette nouvelle réalisation. Stade à Dijon (Côte-d'Or) à louer pour des événements professionnels rassemblant entre 850 et 1000 personnes. Sous son mandat, Gaston Gérard construit la réputation gastronomique de Dijon, faisant le choix de soutenir l'industrie alimentaire et le tourisme plutôt que l'industrie mécanique. Plusieurs études sont donc lancées et c'est le projet de l'architecte Michel Rémon qui est retenu. Ce projet consiste en la reconstruction du stade de football Gaston-Gérard, dans la ville de Dijon, en Bourgogne, France. Il obtient son premier mandat électif 1907, où il est élu conseiller général pour le canton de Dijon-Ville sous l'étiquette radicale. Il revient fin janvier 1931 comme sous-secrétaire d’État aux Travaux publics chargé des Travaux publics et du Tourisme dans le premier Gouvernement Pierre Laval et subsiste à ce poste jusqu’à la fin du troisième Gouvernement André Tardieu début juin 1932. Le calendrier n’est pas idéal puisque la ville de Dijon espère accueillir le camp de base d’une équipe nationale participant à l’Euro 2016. Lors de l’Euro 2012 en Pologne et Ukraine, l’équipe nationale des Pays-Bas s’était entrainée devant 25,000 spectateurs dans le stade Henryka Reymana de Cracovie. Les trvaux devrait s'achever à l'orée de la saison 2017-2018 et ainsi offir une capacité de 19000 places au stade Gaston Gérard. Gaston Gérard, né le 30 avril 1878 à Dijon et mort dans cette même ville le 5 février 1969, est un avocat et un homme politique français. Informations pratiques, photos, vidéos, ... Partagez vos media et avis sur les matchs, Dijon : La reconstruction de la tribune Est du stade Gaston Gérard validée, s’était entrainée devant 25,000 spectateurs. Ce projet consiste en la reconstruction du stade de football Gaston-Gérard, dans la ville de Dijon, en Bourgogne, France. Mobilisé pendant la Première Guerre mondiale comme auxiliaire, il passe à sa demande au service armé[1]. Il finira capitaine en ayant reçu deux citations françaises et une belge[1]. Il s'agit d'un stade très moderne pour l'époque capable d'accueillir plusieurs sports (football, rugby, cyclisme, athlétisme) comportant un terrain et une piste en cendrée de six couloirs. Il a actuellement une capacité pour 16.000 spectateurs et c'est là que joue le Dijon Football Côte, équipe de Ligue 1. Les industriels Bizouard (devenue Amora en 1938), Mulot, Petitjean, Philbée, Lanvin ou les biscuiteries Pernot gagnent en importance et Gaston Gérard s'engage lui même dans la promotion de la Bourgogne, de Dijon et du vin, donnant au début des années 1920 plus de six cents conférences dans trente-deux pays pour promouvoir cette filière exportatrice[2]. Les premiers travaux de modernisation avaient débuté en 2007 avec la construction des tribunes Sud et Nord (derrière les buts). Le Parc des Sports doit son nom à Gaston Gérard, député-maire de Dijon entre 1919 et 1935, également ministre du tourisme. Ces deux tribunes ont respectivement été inaugurées en 2009 et 2010. Gaston Gérard, né le 30 avril 1878 à Dijon (Côte-d'Or) et mort dans cette même ville le 5 février 1969, est un avocat et un homme politique français. Le 5 mars 1960, le stade obtient son record d’aff… Ce projet est divisé en deux phases. Le projet initial prévoyait d’implanter le site dans le … La dernière modification de cette page a été faite le 26 mai 2020 à 16:17. Lors de la montée du Dijon FCO en Ligue 2 en 2004, la rénovation du stade qui accuse 70 ans d'existence s'impose afin de répondre aux règles strictes de la LFP. Après plusieurs études dans d’autres villes, c’est finalement sur un terrain de 45 hectares, entre le quartier des Grésilles et celui du Clos … La deuxième phase, conditionnée aux résultats du DFCO visera à finir entièrement le stade (impliquant la destruction des deux tribunes historique marathon et honneur). Les vastes terrains acquis par la ville en 1925 à l'emplacement de l'ancien parc du chateau de Montmuzard (45 hectares à 6 francs le m²) serviront pour y construire le futur stade.Les études sont entreprises dès 1926 et Tony Garnier figure parmis les architectes apporteur d'idée. La capacité est donc relevée à environ 16000 places. La montée en Division 2 en 1987 permettra de voir plusieurs modification au parc des sports avec la couverture de la tribune marathon en 1988 où la création des loges en tribune honneur en 1990. Il fut également député de Côte d'Or, élu à Dijon de 1928 à 1932, il est battu par le socialiste Robert Jardillier en 1932[5]. La solution du système en ETFE monocouche se compose de câbles en acier inoxydable et de profilés en aluminium. On pense tout d'abord aux poussots mais les habitants du quartier protestent, de plus la proximité du cimetière, des abattoirs (aux conditions d'hygiènes incertaines) et la faible taille du terrain (70000m²) poussent la municipalité à choisir un autre sîte. On sait à quoi ressemblera la tribune Est du stade Gaston-Gérard. L’appel à candidature sera prochainement lancé pour un démarrage des travaux prévu en mai 2015. Après la réalisation de la première partie de ce nouveau stade, des litiges vont apparaitre entre la municipalité et l'architecte Michel Rémon, la deuxième phase de construction n'est finalement pas réalisée. Liste des sous-secrétaires d’État et des hauts-commissaires, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gaston_Gérard&oldid=171328153, Député de la Côte-d'Or (Troisième République), Député de la quatorzième législature de la Troisième République, Député de la seizième législature de la Troisième République, Lauréat du prix Broquette-Gonin (histoire), Portail:Politique française/Articles liés, Portail:Bourgogne-Franche-Comté/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Titulaire d'une quinzaine d'ordres étrangers. La seconde phase du projet, qui vient d’être votée par le Grand Dijon, concerne la déconstruction puis la reconstruction de la tribune Est. C'est le projet de l'architecte paysagiste Charles Bouhanat ainsi que l'architecte dijonnais Georges Parisot et de Henri Delevault. Un nouvel appel d'offre est donc lancé pour la réalisation cette fois-ci d'une seule tribune à savoir la tribune Est (ex-marathon). Il meurt à 90 ans en 1969, chutant accidentellement du premier étage de son hôtel, rue du Petit-Potet[1]. Les premiers travaux de modernisation avaient débuté en 2007 avec la construction des tribunes Sud et Nord (derrière les buts). La capacité d'origine du stade est d'environ 10000 places mais près de 18000 personnes (15800 payantes) assistèrent à un match de football opposant le Stade de Reims à l'Olympique d'Alès en 8éme de finale de la coupe de france 1961. À la fin de la guerre, il est décoré de la Légion d'honneur à titre militaire[1]. Il a actuellement une capacité pour 16.000 spectateurs et c'est là que joue le Dijon Football Côte, équipe de Ligue 1. Le stade a été construit en 1919. Il fréquente les clubs touristiques et gastronomiques rassemblant élites politiques et économiques, fonde la Fédération des Syndicats d'initiatives de Bourgogne en 1921 et la Foire gastronomique la même année avec l'appui de l'industriel dijonnais Xavier Aubert, s'inspirant du modèle lyonnais de la foire des soieries d'Édouard Herriot[3].